Exercice d’écoute.
Exercice d’écoute
Savez-vous que les bruits de la nature font partie des sons positifs ? Il est prouvé qu’ils ont des effets bénéfiques sur notre organisme et induisent un sentiment de sérénité, ce qui contribue à réduire le stress.
Mais, comme nous n’avons pas tous la chance d’habiter au bord de la mer ou à côté d’une forêt, notre quotidien citadin nous éloignant de ces bruits naturels, nous vous mettons à disposition différents sons pour vous relaxer.
Conseils d’écoute :
- Pour écouter un son, cliquez sur l’icône représentant le son souhaité. Il est possible de modifier leur volume.
- Vous pouvez aussi créer votre propre ambiance en jouant plusieurs sons en même temps.
- Pour un sommeil de meilleure qualité, vous pouvez écouter ces bruits naturels pendant 10 à 15 minutes avant d’aller vous coucher.
Bénéfices observés :
- L’écoute de sons naturels comparé à des sons urbains facilite la récupération après un stress psychologique – http://www.mdpi.com/1660-4601/7/3/1036
- “Écouter de la musique change le fonctionnement du cerveau dans la même mesure que les médicaments. C’est un moyen facile et accessible de réduire son stress de façon naturelle”
- Chercheurs de l’Université de Stanford.
Dès sa naissance, l’homme respire grâce à ses poumons et en gonflant son ventre. Si vous observez un bébé, vous verrez que seul son ventre se gonfle à chacune de ses inspirations. Au cours de notre vie, nous avons tendance à oublier cette respiration et à respirer en gonflant le thorax. Or, en respirant avec le haut du corps, nous utilisons seulement 30 % de notre capacité pulmonaire. La respiration est saccadée et bloquée car l’amplitude de
notre diaphragme est limitée par notre cage thoracique.
De ce fait, nos organes sont moins bien oxygénés et nous libèrons moins les tensions. Cette modification de notre façon de respirer est principalement due au stress, aux tensions accumulées, aux émotions refoulées… Elle crée une sorte d’oppression au niveau de la poitrine. Il est important de réapprendre à respirer correctement par le ventre par le biais de cet exercice, qui vous permettra d’atteindre un état de calme et de relaxation.
Avant de démarrer l’exercice, n’oubliez pas de lire les consignes au-dessous de celui-ci.
Pour en savoir plus :
Cet exercice de respiration est indiqué comme tranquillisant naturel pour le système nerveux. Il est subtile lorsque vous le faites la première fois, mais gagne en efficacité avec la pratique.
Si vous vous sentez un peu étourdi lorsque vous pratiquez cette respiration pour la première fois, ne vous inquiétez pas, cela passera.
Src : Dr Andrew Weill – https://www.drweil.com/videos-features/videos/breathing-exercises-4-7-8-breath/
Fréquence conseillée :
Faites-le au moins deux fois par jour. Limitez-vous à 4 respirations entières à la suite pendant le premier mois de pratique. Plus tard, vous pourrez augmenter jusqu’à 8 respirations entières.
Contre indications :
Processus inflammatoires sévères, maladies et désordres mentaux. La rétention d’air est formellement interdite en cas de tendance à l’hypertension. En cas de maladie chronique, consultez votre médecin.
Bénéfices observés :
– La respiration lente augmente la tranquilité
Src : Mark Krasnow, Kevin Yackle, Jack Feldman and others, 2017 – http://med.stanford.edu/news/all-news/2017/03/study-discovers-how-slow-breathing-induces-tranquility.html
– La respiration profonde réduit le stress oxydatif, la
cortisone et augmente les niveaux de mélatonine (hormone du sommeil).
Src : Diaphragmatic Breathing Reduces Exercise-Induced Oxidative Stress (Daniele Martarelli, Mario Cocchioni, Stefania Scuri and Pierluigi Pompei, 2009) – https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3139518/
– Quelques explications sur ce que le stress oxydatif fait à votre corps :
Src : Oxidative Damage of Nuclear DNA in Liver of Rats Exposed to Psychological Stress (Shuichi Adathi, Ken Kawamura and Kazuo Takemoto, 1993)
– La méditation augmente la résistance au stress
Src : The effect of meditation on perceived stress (Dias S., 1997) – https://www.hindawi.com/journals/ecam/2012/927509/